Monday, September 26, 2011

Lisbonne - Lisboa


Lisbonne et son parfum de cannelle
Ses ruelles, ses funiculaires, ses trams
Le sourire aimable des gens
Les histoires des personnes avec qui nous avons fraternisé dans une gargote du centre-ville :







Lui, português entouré de sa famille, avait vécu une partie de sa vie en Afrique du Sud et en Mozambique

Elle, anglaise, les avaient rencontré à un moment donné en Angleterre, même si, tout comme mes português, elle aussi avait vécu en Afrique du sud. Mais dans cette petite gargote ils reviennent chaque fois que le sort les laissé le temps de retourner dans leur chère ville : Lisboa.

F et moi les avons y rencontré pendant qu’affamés on cherchait quelque endroit populaire pour goûter l’atmosphère et la cuisine locale, parmi les gens du pays. Ils nous ont recommandé la gargote, le porc et le vin rouge. Pendant le repas pris sur le pouce, ils nous ont amusés avec les histoires de leurs vies respectives.



Lisboa et son fado
La pierre blanche qui pave les rues
Glissante sous la pluie, aveuglante sous le soleil.









Le café bon (comme l'amour) et les gâteaux avec 1000 calories la bouchée – mais ô, que bons…









Lisboa et ses magasins de chaussures,
Les sacs des créateurs lisboètes : petites merveilles

Castelo de São Jorge (château)












visité le soir, tard, sous un ciel menaçant
qui a eu le bon goût de ne pas déverser le déluge...




Et de nous donner le temps de flâner
De découvrir












Mosteiro dos Jerónimos : un rêve architectural








Lisboa et son tram 28







Que choisir? D’y retourner le plus tôt possible :)

Saturday, September 24, 2011

Festas do Povo, das Flores ou dos Artistas (Fête des fleurs) - Campo Maior

Une bourgade tranquille en retrait sur une colline : maisons blanchies à la chaux, ruelles étroites, habitants souriants qui baragouinent quelques mots d’anglais et qui parlent, à part leur langue, un peu de français : Campo Maior, Portugal. Si pendant un périple português l’endroit mérite une courte visite pour goûter le célèbre porc alentejano, il ne révèle sa magie et sa vraie joie de vivre qu’une fois à tous les quatre ans, ou « quand le peuple l’entend » (à lire quand les gens ont l’argent, le temps et l’énergie) pour organiser la Festas do Povo, das Flores ou dos Artistas (la fête des gens, ou des artistes des fleurs – traduction littérale, ne vous y fiez pas trop). En français, on dit « La fête des fleurs ».

Des milliers de fleurs en papier de soie décorent alors les rues de la petite ville qui se transforment en tunnels multicolores. Les habitants de la ville installent les fleurs sur des structures en bois la nuit qui précède la fête, afin que la surprise soit totale. Travaillée en secret – saine rivalité entre ruelles voisines oblige – la décoration est l’œuvre collective des habitants de chaque ruelle qui se réunissent en début d’année pour choisir un thème, les couleurs et les figures en papier qui seront faites.    

Une date pour le coup d’envoi de la fête est choisie et publicisée, car à tous les quatre ans, des milliers des visiteurs n’attendent que ce signal pour s’y rendre.

Cette année, la fête s’est déroulée du27 août au 4 septembre. F et moi étions de la partie : nous avons convaincus nos patrons de nous accorder quelques jours de vacances à partir du 27 août, nous avons payé une fortune pour les billets d’avion, car nous les avons achetés au dernier moment, en pleine période de pointe pour les compagnies aériennes. Nous avons même défié un ouragan qui clouait au sol certains vols et nous nous sommes rendus… avec le compagnon fidèle de nos vacances : la pluie. Non, mais pouvez-vous imaginer l’effet d’une forte pluie sur des fragiles fleurs en papiers de soie?!



Une bonne ondée était tombée le soir, avant qu’on arrive sur place. De l’eau dégoulinait encore et les fleurs avaient perdu leur fière allure. Ce n’est que le soleil brillant de toutes ses forces qui a apaisé ma tristesse. Le sourire des gens du pays qui travaillaient joyeusement à restaurer le tout a également contribué.






Nous y avons donné un coup de main, histoire d’entendre leurs récits, de nouer des amitiés, de rire et de goûter pleinement la magie de l’endroit. Nous avons marché jusqu’à la fatigue et pour nous reposer nous avons goûté le porc alentejano.






Mais une autre pluie déchainée nous a contraints de quitter, à regret, les lieux… avec l’espoir qu’en 2015, le peuple de Campo Maior aura le goût de se mettre au boulot et de concocter une autre fête des fleurs et que nous serions de la partie… sans pluie...


    
car on nous attend :)











plus d'info: http://fr.myeurop.info/2011/09/03/une-fete-des-fleurs-pour-oublier-la-crise-3217

Thursday, September 22, 2011

quote of the day

Mark Twain dixit: "Twenty years from now you will be more disappointed by the things that you didn't do than by the ones you did do. So throw off the bowlines. Sail away from the safe harbor. Catch the trade winds in your sails. Explore. Dream. Discover."

Thursday, September 15, 2011

pluie

parapluies, pluie, vacances
souvenirs, couleurs, remontrances
boulot, métro, dodo
rêver au vélo...
mais: pluie, parapluie
ennui!